Nouvelle modification du
Plan Local d'Urbanisme (PLU)
Centre ville et zone UB
En détail
Rappelons au préalable que la grande majorité des bâtiments qui ont fleuri en centre ville ces dernières années sont l'aboutissement de demandes de permis de construire qui ont été initiées entre 2010 et 2014.
"Pour limiter les dérives, dès 2014 nous avons rendu plus restrictives certaines règles d’urbanisme, comme diminuer l’emprise au sol et la hauteur maximale des édifices, ou augmenter le nombre de places de stationnement et les distances entre chaque construction.
Pour assurer un développement urbain harmonieux et préserver notre habitat traditionnel, nous durcirons encore certaines conditions comme par exemple :
• Contraindre les promoteurs à prévoir une proportion d’appartements de plus grande taille ou un pourcentage de logements sociaux permettant de maintenir le quota obligatoire de 25% de la Loi Solidarité et Renouvellement Urbain (SRU).
• Organiser des obligations supplémentaires de parkings, en nombre et en espacement suffisant pour assurer un réel stationnement résidentiel ;
• Imposer des locaux pour les poubelles et les encombrants beaucoup plus adaptés ;
• Envisager des règles spécifiques pour encadrer l’aspect extérieur des constructions afin de contribuer à la qualité architecturale et à l’insertion harmonieuse de celles-ci dans le paysage environnant ;
• Inclure des caractéristiques écologiques et de performance énergétique pour réduire les consommations.
Pour contrôler le marché foncier de la ville, nous étudierons l’instauration d’un droit de préemption urbain simple.
Pour maîtriser la planification urbaine, nous continuerons également de nous opposer au transfert de la compétence «urbanisme» à l’intercommunalité, pourtant inscrit dans la loi Alur.
Même si nous avons réussi à décourager certains projets disgracieux et inadaptés, nous devons continuer d'être vigilants et de veiller au respect de notre cadre de vie privilégié.
"Pour limiter les dérives, dès 2014 nous avons rendu plus restrictives certaines règles d’urbanisme, comme diminuer l’emprise au sol et la hauteur maximale des édifices, ou augmenter le nombre de places de stationnement et les distances entre chaque construction.
Pour assurer un développement urbain harmonieux et préserver notre habitat traditionnel, nous durcirons encore certaines conditions comme par exemple :
• Contraindre les promoteurs à prévoir une proportion d’appartements de plus grande taille ou un pourcentage de logements sociaux permettant de maintenir le quota obligatoire de 25% de la Loi Solidarité et Renouvellement Urbain (SRU).
• Organiser des obligations supplémentaires de parkings, en nombre et en espacement suffisant pour assurer un réel stationnement résidentiel ;
• Imposer des locaux pour les poubelles et les encombrants beaucoup plus adaptés ;
• Envisager des règles spécifiques pour encadrer l’aspect extérieur des constructions afin de contribuer à la qualité architecturale et à l’insertion harmonieuse de celles-ci dans le paysage environnant ;
• Inclure des caractéristiques écologiques et de performance énergétique pour réduire les consommations.
Pour contrôler le marché foncier de la ville, nous étudierons l’instauration d’un droit de préemption urbain simple.
Pour maîtriser la planification urbaine, nous continuerons également de nous opposer au transfert de la compétence «urbanisme» à l’intercommunalité, pourtant inscrit dans la loi Alur.
Même si nous avons réussi à décourager certains projets disgracieux et inadaptés, nous devons continuer d'être vigilants et de veiller au respect de notre cadre de vie privilégié.
* Crédit photo PM FELICIAGGI